Réduit la demande d’énergie finale.
Augmente la consommation totale d'électricité.
Réduit la consommation totale de l'essence/diesel.
Susceptible d'augmenter la part des sources d'énergies renouvelables dans le bouquet énergétique.
Susceptible d'augmenter la pression sur la grille en augmentant le pic quotidien de la demande d'électricité.
Susceptible d'augmenter l'indépendance énergétique et la sécurité énergétique.
Très probable de réduire les émissions mondiales de CO2.
Evite les émissions des polluants nocifs, en particulier dans les zones urbaines.
Réduit la pollution sonore.
Susceptible d'augmenter les impacts de déchets résiduels et les impacts environnementaux liés à l'extraction et le traitement en fin de vie des batteries.
Susceptible d'avoir un impact limité sur le coût de la transition énergétique.
Peut améliorer la balance commerciale en substituant les importations de pétrole par l'électricité domestique.
Réduit les revenus de la confédération provenant de la taxe sur l'huile minérale dans le système d'imposition en cours.
L'activité de transport de personnes (en personne-kilomètre pkm/année) en Suisse a augmenté de 13,811 en 2005 à 14,413 en 2012. Cela est légèrement supérieur à la moyenne de l'UE, qui a augmenté de 12,854 à 13,121 entre 2005 et 2011. [1][2]
En 2012, la part du transport public dans l'activité de transport motorisée en Suisse était 20.8% (aviation exclue), par rapport à 19.9% en 2005. Pour la comparaison, en 2011, la part moyenne du transport public dans l'activité de transport motorisée dans l'UE était de 17.5% (aviation exclue), par rapport à 17.7% in 2005. [3][4]
Le curseur du pourcentage "d'utilisation du transport public” détermine la part de la distance traversée par des modes de transport public, par rapport à la distance totale parcourue par les passagers (train, tram, métro, bus, transport câblé et bateau).
En 2012, l'activité du transport public avait un total de 24.1 milliard de passagers-kilomètres (pkm), répartie sur plusieurs modes comme suit: train (80.4%), tram et métro (4.7%), bus (12.9%), transport câblés (1.3%) et bateau (0.7%). [1]
• L'infrastructure existante arrive à sa capacité maximale et la nouvelle infrastructure est de plus en plus chère.
• Certains endroits sont difficiles à désservir par transports publics.
• Certains obstacles psychologiques sont difficiles à surmonter - certaines personnes ne veulent pas compromettre l'autonomie.